Aujourd’hui, environ 1 850 personnes vivent dans le camp de Mbella en République centrafricaine.
Aujourd’hui, environ 1 850 personnes vivent dans le camp de Mbella en République centrafricaine.
Le CICR distribue des rations alimentaires, évalue l’état nutritionnel des enfants et, si nécessaire, distribue des compléments alimentaires. En cas de malnutrition sévère, il hospitalise les enfants.
Les kits de première nécessité sont déchargés pour être distribués aux personnes déplacées dans le camp de Mbella.
Les personnes déplacées vivant dans des camps de réfugiés doivent pouvoir subvenir à leurs besoins essentiels, c’est-à-dire avoir de l’eau, de la nourriture, un abri et un accès aux soins médicaux.
Les personnes déplacées se rendent à l’hôpital général de Kaga Bandoro, en République centrafricaine, pour soigner leurs enfants qui souffrent du paludisme et souvent de malnutrition.
Quelque 3 700 personnes vivent dans le camp de réfugiés de Lazare. Nos équipes apportent leur aide pour développer l’agriculture et mettre en place les infrastructures dans les camps.
Dans le camp de Lazare, les pompes à eau récemment installées garantissent l’accès à l’eau potable.
La République centrafricaine est l'un des pays les plus pauvres et les plus instables du monde.
La crise de 2013 s'est muée en conflit intercommunautaire qui a causé l'effondrement de l'infrastructure socio-économique déjà fragile du pays. Aujourd'hui, les services sociaux essentiels font défaut.
Le CICR est très préoccupé par la détérioration des conditions de sécurité et de la situation humanitaire.
Les déplacés internes et les réfugiés représentent à l'heure actuelle près d'un cinquième de la population du pays, qui compte environ cinq millions d'habitants. Les combats violents entre groupes armés vont vraisemblablement se poursuivre en 2018 et entraîner ainsi une augmentation des besoins humanitaires.