Ces populations - particulièrement les femmes et les enfants - éprouvent des difficultés pour subvenir à leurs besoins essentiels, ce qui les rend particulièrement vulnérables et exposés à un risque de malnutrition.
« Par jour, nous recevons 400 à 500 personnes pour leur apprendre à préparer la bouillie enrichie », Zenabo Niampa, volontaire de la Croix-Rouge Burkinabè.
Dans la région du Nord, le CICR a distribué en plus des vivres, de la farine enrichie à 7300 ménages, pour prévenir la malnutrition.
« Pour être honnête, nous sommes venus les mains vides ». Mariam, déplacée à Titao.
— CICR Afrique (@CICR_Afrique) June 12, 2020
Au #BurkinaFaso, les incidents de violence armée poussent des milliers de personnes à se déplacer, laissant tout derrière elles et exposées à un risque de malnutrition. pic.twitter.com/uGTexM5QHQ