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Le CICR aux côtés des journalistes en mission périlleuse

Les journalistes qui effectuent des missions dangereuses peuvent nécessiter une aide humanitaire d'urgence, par exemple lorsqu'ils sont arrêtés, blessés ou portés disparus. Dans ce type de situations, leur rédaction peut appeler le service de presse du CICR à Genève en composant le +41 22 730 34 43, contacter le bureau du CICR le plus proche ou nous envoyer un courriel à press@icrc.org.

Quelle est l'action du CICR en faveur des journalistes en détresse ?

Les journalistes sont souvent exposés à de graves dangers lorsque leurs reportages les amènent sur des terrains de guerre ou dans d'autres zones en proie à la violence armée. Quand l'un d'eux est détenu, porté disparu, blessé ou tué, le service de presse du CICR peut répondre aux questions ou aux demandes d'assistance de professionnels des médias, mais aussi à celles des proches, des collègues ou des employeurs.

Pour traiter une demande, le CICR a besoin de connaître le nom du professionnel concerné, sa date de naissance, une brève description de l'incident et le lieu où celui-ci s'est produit, s'il est connu.

Pour en savoir plus, veuillez consulter notre page sur les Questions fréquentes (en anglais) ainsi que notre article traitant plus généralement des ressources sur le DIH à l'intention des professionnels des médias.

Que peut faire le CICR en cas d'arrestation ou de disparition d'un journaliste ?

Lorsque les circonstances le permettent, le CICR peut demander la confirmation qu'une personne a été arrêtée, capturée ou autrement privée de liberté (ainsi que des informations s'y rapportant) et, le cas échéant, l'aider à rétablir ou à maintenir le contact avec sa famille. Il peut également s'efforcer de localiser des journalistes dont on a perdu la trace ou organiser des évacuations. Dans le pire des scénarios, il peut s'occuper du transfert des dépouilles mortelles.


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